" J'ai choisi Aix-Marseille Université sans aucune hésitation parce que j'ai pu y trouver une formation qui correspondait en tout point à ce que je recherchais."
"Étudier à l'étranger dans une langue qui n'est pas la votre vous fait beaucoup grandir. Aujourd'hui, je me sens beaucoup plus apte à relever de nouveaux défis."
	Je pensais que c'était un capharnaüm bureaucratique mais j'ai pu m'organiser et j'ai reçu un accompagnement un bon accompagnement pour y venir à bout !

Nos étudiants répondent à nos questions !

**Les réponses aux questions ont été raccourcies, les interviews dans leur globalité seront bientôt disponibles sur you tube !**

Pourquoi avez-vous choisi Aix-Marseille Université plutôt qu’une autre université en France ?

Omar  - J'ai choisi Aix-Marseille Université sans aucune hésitation parce que j'ai pu y trouver une formation qui correspondait en tout point à ce que je recherchais. L'accompagnement qui m'a été proposé par mon directeur de master et la Direction des Relations Internationales de l'université avec lesquels j'ai échangé de nombreux mails et messages Whatsapp a fini de me convaincre !
Javiera  - C'est pareil pour moi ! J'ai choisi AMU parce qu'elle propose l'un des meilleurs masters en Sciences de la mer notamment dans mon domaine (la biogéochimie). Pour être honnête, j'ai aussi choisi cette université pour ses infrastructures de pointes et sa localisation. Pouvoir étudier près de la mer c'est vraiment un plus !
Camilo  - De mon côté, j'ai pensé à la France parce que je savais que l'éducation y était abordable et parce que j'apprenais déjà le français depuis un certain temps. J'ai choisi AMU parce que seule cette université, ainsi qu'un groupe d'universités parisiennes, offraient un master dans le domaine qui m’intéresse.

Votre rythme de vie, vos habitudes et activités ont peut-être changé depuis votre arrivée en France ?

Javiera - Je n'ai pas autant de temps que je le voudrais pour faire du sport et voyager, même si j'essaie de le faire quand mes obligations universitaires me le permettent... ce n'est pas facile d'étudier un master dans une langue qui n'est pas la sienne.
Omar - C'est exactement ça, ici chaque minute compte pour moi mais cela m'a permis de gagner en autonomie et à apprendre à gérer mon budget !
Camilo - Personnellement, c'est un peu plus simple pour moi puisque je vis jusqu'à côté de l'université ce qui n'était pas le cas en Colombie.

Quelles différences avez-vous perçu entre les cours et les méthodes d’enseignement de notre université et votre université d’origine et comment les avez-vous perçu ?

Camilo - J'aime bien le fait qu'il y a en France différentes typologies de cours : Cours Magistraux, Travaux Dirigés, Travaux Pratiques.
Javiera - Pour moi la plus grosse différence c'est les examens. Ici on est évalué qu'à la fin du semestre. Notre avenir dépend donc de quelques notes ce qui rend les choses plus difficiles selon moi.
Omar - Moi ce que j'aime ici c'est qu'on met en pratique toute la théorie que nous apprenons tout au long de l'année.

Parlez-nous d'un lieu de l'université que vous fréquentez et que vous aimez bien.

Camilo - J'aime beaucoup les moments que je passe au restaurant universitaire parce que je trouve que c'est l'endroit idéal pour rencontrer des gens et décompresser.
Omar - Sans aucune hésitation la bibliothèque de Saint Jérôme, ma deuxième maison !

Quel est votre top 3 des endroits que vous avez découverts dans la région ?

Tous ensemble - Notre Dame de la Garde, le Belvédère et le jardin de la Colline Puget

Aujourd’hui, avez-vous la même perception de la France qu'à votre arrivée ? En quoi a-t-elle changé ?

Camilo - Je pensais que c'était un capharnaüm bureaucratique mais j'ai pu m'organiser et j'ai reçu un accompagnement un bon accompagnement pour y venir à bout !
Omar - Pas du tout ! Je croyais que j'allais avoir des problèmes d’intégration lorsque j’étais encore dans mon pays d’origine. Au final, je me suis facilement et rapidement intégré à mes collègues français et internationaux.
Javiera - Avant de venir en France, je pensais que c'était un pays parfait, ce qui n'est évidemment pas le cas ! J'aime le fait qu'en France, on puisse rêver d'un avenir meilleur, avec de vraies et bonnes opportunités d'emploi, une vie paisible qui nous assure des droits fondamentaux dont tout être humain a besoin.u

Où vous voyez-vous dans 5 ans ?

Omar - Comme je m’intéresse à l’environnement et en particulier au climat, je veux être chercheur afin de trouver des solutions durables pour atténuer le changement climatique qui nous préoccupe tous et toutes aujourd'hui.
Javiera - Pour moi c'est une question difficile ! Je suis très nomade, mais je pense que dans 5 ans je serai toujours en France. J'espère pouvoir travailler comme océanographe dans un laboratoire de recherche.
Camilo - Je me vois travailler comme enseignant-chercheur à la frontière entre l'informatique théorique et la logique mathématique dans une université européenne.